Enroule-toi
autour de ma taille
comme pour faire soudure
dans une tendre bataille
sous les couvertures.
Enroule-toi
autour de ma gorge
comme une écharpe de laine
comme si
nous étions dehors
dans le froid de l’hiver.
Oh
demain n’est pas encore,
Oh demain n’est pas
encore,
Oh demain n’est pas encore,
dans tes yeux (bis).
Enroule-toi
comme je m’enroule
à te chercher des mains
pour
retrouver mon corps et consacrer le tien
enroule-toi autour du
soleil
pour retarder demain
et faire de l’astre
lunaire
le gardien de nos faims, le gardien de nos faims, le
gardien de nos faims.
Oh
demain n’est pas encore,
Oh demain n’est pas
encore,
Oh demain n’est pas encore,
dans tes yeux. (bis)
Oh
tout près de nous, quand au cœur de la nuit, nous nous
sentons devenir
l’instant même, reste l’appréhension
des choses à venir, qui écartèlent nos cœurs
lunaires.
Oh
tout près de nous, quand au cœur de la nuit, rien qu’à
deux, nous ne formons plus qu’un seul être, nous nous
rassurons, que demain n’est pas encore, que demain n’est
pas encore, que demain n’est pas encore, que demain n’est
pas encore, que demain n’est pas encore.
Nous nous rassurons, que
demain n’est pas encore, que demain n’est pas encore, que
demain n’est pas encore, que demain n’est pas encore, que
demain n’est pas encore.Oh demain n’est pas encore,
Oh
demain n’est pas encore,
Oh demain n’est pas
encore,
dans tes yeux (bis)