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Le scandale de l'Ivermectine :


Ceci est un document résumé, rédigé à la demande de mon ami Didier, et qui a pour objectif de vous introduire à mon étude sur l'Ivermectine et aux raisons de sa non-prescription dans le Covid-19 aujourd'hui.
Mon texte originel et complet est disponible sur le site de Ciné-citoyen.


Covid-19 : point de salut sans les vaccins?

Détrompez-vous.
De nombreux traitements existent, et l'un des plus prometteurs s'appelle l'Ivermectine.

Cette molécule a été découverte en 1974 par le biochimiste japonais Satoshi Ōmura, dont les travaux furent consacrés par l’obtention du prix Nobel de médecine en 2015.
Structurellement proche d'une classe d'antibiotiques appelée macrolides, elle présente des actions larges et diversifiées. La molécule ne présente quasiment aucun effet indésirable et bénéficie de 30 années de recul, avec 3.7 milliards de doses prescrites à travers le monde à ce jour.

Depuis que Satoshi Ōmura lui a cédé ses droits, l’Ivermectine est la propriété du laboratoire pharmaceutique allemand Merck. Le médicament est génériqué et son coût est dérisoire : 0,3 centime de dollars la dose en Inde, pays qui le fabrique en la plus grande quantité.

Dans les premiers mois de l'épidémie de Covid-19, de nombreux médecins et scientifiques ont été mandatés pour faire du "repositionning", c'est à dire tenter de déterminer, au moyen de techniques de bio-informatiques, si des molécules existantes pouvaient s'avérer des traitements potentiels du Covid-19.

L'Ivermectine, au même titre qu'une dizaine d'autres molécules existantes, a été identifiée comme l'un des traitements potentiels du Covid-19.
Par suite plusieurs pays du monde ont ensuite utilisé cette molécule dans le traitement du Covid-19 ; il s'agissait souvent de pays pauvres ou en voie de développement, dont le manque de moyens ne permettait pas d'utiliser les traitements onéreux proposés en Europe et qui furent étudiés au début de la crise (REMDESIVIR, anticorps monoclonaux, etc...).

Au total et depuis maintenant 1 an, 94 études ont été réalisées sur l'Ivermectine.
Dès décembre 2020, les résultats des essais réalisés dans les pays ayant utilisé l'Ivermectine ont montré des résultats extrêmement prometteurs.
Si pour la plupart de ces pays il était financièrement difficile d'élaborer des essais ambitieux portant sur un très grand nombre de patients, il n'en est pas moins apparu une tendance très nette à une efficacité spectaculaire de la molécule sur le Covid-19.

Fort de ces constatations, 3 chercheurs de haut vol ont réalisé, et ce de manière indépendante et sans lien les uns avec les autres, ce que nous appelons en médecine une "méta-analyse", entendre par là une "analyse des analyses".
En épidémiologie médicale la méta-analyse, pour peu qu'elle soit réalisée correctement, constitue le plus haut niveau de preuve médicale atteignable. Elle supplante les avis d'experts et les études individuelles.

Les acteurs ayant réalisé les méta-analyses sur l'Ivermectine sont les suivants :

⦁ Andrew Hill, PhD, spécialisé dans les traitements anti rétroviraux et professeur de pharmacologie à l’université d’Oxford.

⦁ Pierre Kory, président de l’association FLCCC (Front Line Covid-19 Critical Care), réanimateur et pneumologue de l’université du Wisconsin.

⦁ Tess Lawrie,, PhD, médecin britannique dont l’entreprise est spécialisée dans l’évaluation de stratégies de traitements et qui réalise régulièrement des méta-analyses pour l’OMS et d’autres ONG, ainsi que pour des états.

Leurs conclusions sont unanimes et sans appel :
L'Ivermectine est un traitement extrêmement sûr et efficace dans le traitement et la prévention du Covid-19.

Je vous retranscris les conclusions de la méta-analyse du Dr Pierre Kory, dont l'association FLCCC réalise des méta-analyses en temps réel, c'est à dire intégrant chaque étude réalisée :

Sur les 94 études réalisées sur l'Ivermectine, comportant 37 études observationnelles et 57 essais thérapeutiques, dont 27 essais randomisés contrôlés et totalisant plus de 18 000 patients dans au moins 20 pays, il en ressort que :

⦁ 97% des 37 essais réalisées évaluant l’efficacité de l’Ivermectine en prophylaxie et en traitement précoce rapportent un effet positif.

⦁ Après pondération du poids de chacune des 94 études incluses dans la méta-analyse (« Random effects meta-analysis with pooled effects ») il existe une amélioration globale sous Ivermectine, respectivement de 78% pour un traitement précoce et de 87% en prophylaxie (prévention).
Avec restriction aux seules études revues par les pairs les résultats sont respectivement de 80%, RR 0.20 [0.12-0.34] et 88%, RR 0.12 [0.05-0.30]).

⦁ On observe une diminution de la mortalité respectivement de 81% pour l’usage de l’Ivermectine en traitement précoce (RR 0.19 [0.07-0.54]) et de 96% en prophylaxie 0.04 [0.00-0.58].

⦁ 100% des 17 essais randomisées, contrôlées, dans l’étude du traitement précoce et de la prophylaxie rapportent des effets positifs avec une amélioration globale respectivement de 73% (RR 0.27 [0.18-0.41]) et de 83% (RR 0.17 [0.05-0.61]).

⦁ La probabilité qu’un traitement inefficace génère des résultats aussi positifs que les 57 essais thérapeutiques en date est de 1 / 5 trillions (p = 0.00000000000021).


Et l’Ivermectine n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Les mêmes constats s’appliquent à l’hydroxychloroquine, l’azythromycine, la vitamine D, la vitamine C, le Zinc, la Mélatonine, certains antidépresseurs et plusieurs autres traitements encore.


Alors si cela est aussi évident, pourquoi n'en avez-vous pas entendu parler?

Plusieurs éléments de réponse :

I ) Eléments de réponse d'ordre scientifique :

1) La question financière.

Les études ont principalement été faites dans des pays en voie de développement, par des médecins qui n'ont pas bénéficié du soutien financier de grands groupes pharmaceutiques, ces derniers étant souvent les seuls à être en mesure de soutenir financièrement la réalisation d'essais cliniques de grande ampleur.
Ainsi, l'inclusion d'un grand nombre de patients est plus difficile car plus les patients sont nombreux, plus l'étude coute cher à réaliser. A la limitation du nombre de patients il faut rajouter des éléments plus basiques encore : difficulté d'accès aux réactifs des PCR, aux laboratoires permettant d'analyser les résultats etc...

Ces pays n'ont pas eu d'autre choix que d'être pragmatiques : ils ont utilisé les molécules disponibles et bon marché.

2) Les traitements combinés.

Certains essais ont été réalisés avec des traitements combinés, là encore dans une approche purement pragmatique : Ivermectine et Doxycycline, Ivermectine et Azythromycine ou zinc, rendant plus difficile l'appréciation de l'efficacité de l'Ivermectine seule.

3 ) Etudes incluant des patients souvent jeunes.

Les patients jeunes sont moins touchés par le Covid-19 et sont donc moins à même de mourir du virus. Devant un événement rare (exemple : mortalité chez les jeunes atteints de Covid-19) il faut un grand nombre de patients pour prouver statistiquement l'efficacité d'un traitement.
Cette situation n'est pas propre à l'Ivermectine mais propre à toute situation où un événement étudié est rare : ici la mortalité par exemple.


Les méta-analyses ont justement pour but de synthétiser l'ensemble des éléments mis au jour par les études individuelles afin de s'affranchir de leur limitations éventuelles, et c'est là tout leur intérêt.
Si une étude individuellement manque de puissance (c'est à dire manque de patients) ou présente des limitations dans sa méthodologie, entrainant une impossibilité de conclure formellement à l'efficacité du traitement étudié, ce n'est pas le cas de l'analyse de plusieurs dizaines d'étude portant sur le même traitement, et dont la conclusion constitue un niveau de preuve scientifique extrêmement puissant.

II ) Eléments de réponse d'ordre médico-économique :

La facette médico-économique de la problématique liée à l'Ivermectine est de loin la plus importante, et pour bien la comprendre il est capital d'avoir pris conscience d'une chose :

l'autorisation de mise sur le marché (AMM) temporaire d'urgence des vaccins contre le Covid-19 et délivrée par les autorités de santé n'est valable qu'à partir du moment où aucun traitement connu n'a fait la preuve de son efficacité et de son innocuité dans le traitement du Covid-19.

En conséquence, la répercussion qu'entrainerait la preuve de l'efficacité de l'Ivermectine, est considérable.
A elle seule, cette petite molécule insignifiante etquasiment gratuite peut annuler l'AMM conditionnelle d'urgence des vaccins, entrainant avec elle l'effondrement pur et simple de tout le marché des thérapeutiques vaccinales dans le Covid-19, et nous parlons là de dizaines de milliards d'euros.
Le cynisme de ce constat est sans commune mesure.


A v Kst

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