Madame Bovary publié en 1857, détient un palmares impressionant de record. Il est le 3ème livre français le plus vendu au monde, dut en grande partie au génie d'écriture qui s'en émane, mais surtout par son créateur; Gustave Flaubert, écrivain français né le 12 décembre 1821 et mort, le 8 mai 1880. A travers cette oeuvre, Flaubert semble laisser une totale liberté à ses peronnages, et de se détacher de cet univers. Cepandant est-il vraiment absent de son oeuvre ? Nous allons donc voir dans une première partie, son influence sur le comique et l'ironie dans l'histoire, puis en second lieu, le lyrisme. L'Ironie Tout d'abord, La présence de Flaubert dans Madame Bovary s’exprime d’abord par le ton d'étaché ironique qui est présent. Celle-ci, dépasse l’ironie à peine visible qui est présent par exemple lorsque Charles annonce à Rodolphe « que sa femme était à sa disposition et qu’il comptait sur sa complaisance » et qu’Emma offre de se rendre à Rouen « consulter M. Léon » . Flaubert dénonce justement dans Madame Bovary la passion romantique et essaye même de les rendres ridicules en brisant chacun des rêves d'Emma. De plus, l'exemple typique de cette ironie reste le moment le plus marquant de Madame Bovary, qu'est le Bal. Nous y retrouvons une héroine completement bercée dans ses illusions romantiques, mal grès toutes les mises en gardes notamment dut au décor, comme le miroir qui se brise, Emma est à ce moment là la cible de la moquerie de Flaubert. À son retour du bal, les rêves d’Emma sont brisés notamment par le spectacle de Charles et elle retourant chez eux, le symbole de la routine quotidienne, et d'un cadre repoussant pour Emma. Même restée éveillée à côté de son mari, Emma tâche de se représenter la vie idéale qu'elle pourrait avoir avec Rodolphe, son amant. Alors qu'Emma tente de s'endormir avec des belles pensées plein la tête, Flaubert place ici quelques évenements comiques comme le fait qu'elle n'arrive pas à fermer l'oeil dut aux ronflements de Charles . De plus, ses visions romantiques niaises et ridicule sont alimentées par ses livres à l'eau de rose, étant une fervante lectrice. Il n'hésite pas à jouer avec nous, le lecteur, comme une chasse au trésor à essayer de dénicher des traces personelles et subjectives de Flaubert. Mais alors que même si Flaubert partage la même "amertume" qu’Emma dans Madame Bovary, il n’a aucune sympathie pour elle. Flaubert reconnaissait en Emma « une nature quelque peu perverse, une femme de fausse poésie et de faux sentiments ", la rendant d'autant plus encore ridicule. Cepandant, Emma était loin d'être la seule victime de l'ironie de Flaubert. L'auteur avait lui même dit : « Je les roulerais tous dans la même boue, étant juste. », et que ce serait de plus, la première fois pour lui qu'il tournerait ses personages en dérision totale. L'exemple typique de cette égalité des "chances", reste Homais, aparaissant seulement à la deuxième partie du roman, qui aide à introdruire le comique, comme dans la scène des comices agricoles . Etant à la fois un Petit bourgeois ambitieux, il incarne à la fois un homme idiot et prétentieux, mais aussi une personne vaniteuse et ayant une portée négative sur l'univers de Madame Bovary. " /> Le Lyrisme " /> Le lyrisme est un genre littéraire caractérisé par l'expression exaltée des sentiments, des " /> passions, souvent liée au romantisme. Cepandant, Madame Bovary n'a pas réellement de " /> Lyrisme prédefinis. J’ai choisi d’étudier Madame Bovary de Gustave Flaubert parce que les " /> auteurs décrivent la réalité et le pessimisme qui existent dans la vie du XIXe siècle. Ce " /> romantisme et ce lyrisme sont différents dans les deux cas. Les clichés des idées d’Emma " /> sont à l’opposé du romantisme pessimiste habituel de Flaubert. Dans cette oeuvre nous " /> pouvons y remarquer la présence aussi très forte du réalisme. Le réalisme donc, est une " /> « tendance littéraire et artistique du XIXe qui privilégie la représentation exacte, tels qu'ils " /> sont, de la nature, des hommes, de la société ». Pendant la deuxième moitié du XIXe siècle " /> les problèmes sociaux, comme les conditions de travail, le manque de logements et " /> d’argents, influencent l’art et la littérature. Comme Flaubert, de nombreux artistes, ont " /> représentés le réalisme à travers leurs oeuvres. Flaubert a écrit Madame Bovary en " /> réaction contre le romantisme : il se moque du style du romantisme à travers certains " /> personnages comme Emma, Léon ou les discours de Rodolphe. Toutefois ce que Flaubert " /> recherchait en écrivant ce roman était d'avoir un style d'écriture particulier, et mal gré le " /> fait qu'il déteste son propre roman, il a fournit un très grand travail pour prouvé aux autres " /> et à lui même, qu'il était capable de s'essayer à d'autres styles d'oeuvres. " /> De plus, l'on peu voir que Flaubert à un certaine difficulté à décrire l'enchainement des " /> idées d'Emma, cela s'apelle la naration psychologique. Plus précisement, ses sentiments, car " /> tout au long de l'aventure, Emma passe à par de nombreuses émotions radicalement " /> différentes et complétement désordonnées. " /> En dernier lieu, nous pouvons aussi parler de la mort d'Emma Bovary qui est typique des " /> morts romantiques. C'est comme ci, à travers sont suicide, elle est la victime d'une fatalité, " /> comme par exemple Ruy Blas, mort par poison préférant ce donner la mort plutôt que de " /> vivre après son crime. Ici, l'on pourrait imaginer l'hypothèse que, au delà du fait qu'elle n'a " /> pas d'argent ni de soutient autour d'elle, l'héroine se donne la mort en réalisant les actes " /> horribles qu'elle à commit, l'adultère qu'elle à fait subir à son mari, des rêves illusoires idiots " /> qu'elle pensais pouvoir voir un jour ce réaliser, ect... et se pensant incapable de racheter ses " /> phautes, préfère ce laisser mourir, étant trop envieuse de ce monde qu'elle à voulu " /> absolument cotoyée. " /> Pour conclure, nous pourrions dire que Flaubert reste tout de même très proche de ses " /> personnages et c'est très bien la route qu'ils ont à suivre. Même s'il essaye de rendre cette " /> oeuvre réaliste et de ne pas intervenir personnellement dans l'histoire, nous pouvons voir à " /> travers ses touches ironiques et comiques sur ses personnages, mais aussi l'utilisation " /> abusive du lyrisme romantique dans ce-ci, Flaubert glisse habilement sa signature aux " /> lecteurs, et donne la touche spéciale flaubertienne. " />